GAVI, stratégie vaccinale ou stratégie politique ?

13 novembre 2020 2 Par Bible & Science Diffusion

Par Jacques Duverger
Publié le 13 novembre 2020

Après son texte sur Vaccinator, Jacques Duverger nous propose un décryptage de GAVI :

1. Bienvenu dans le monde de GAVI

La Global Alliance for Vaccines and Immunization (GAVI, Alliance Globale pour les Vaccins et l’Immunisation) se réunissait à Londres ce 4 juin 2020 pour les vingt ans de sa création et la mobilisation de fonds pour ses objectifs de vaccinations sur la période 2021 – 2025.
Emmanuel Macron a adressé un court message aux participants du sommet et rappelé les préoccupations de l’OMS : « les cibles fixées pour l’élimination de maladies telles que la rougeole, la rubéole et le tétanos maternel et néonatal pourraient ne pas être atteintes s’il n’y a pas de sursaut d’ici la fin 2020 » et la mise au point d’un vaccin contre la Covid-19 ; le postulat étant qu’il faut protéger tout le monde, sinon personne n’est protégé.
Une nette priorité est donnée aux pays d’Afrique sub-saharienne et d’Asie du Sud-Est.
Parmi les projets mis en place par l’Alliance les années précédentes, l’on remarque les « obligations vaccins ». Depuis 2006, l’IFFIm (Facilité internationale de financement pour la vaccination) utilise les engagements à long terme des gouvernements donateurs pour vendre des « obligations vaccins » sur les marchés des capitaux, ce qui permet de mettre immédiatement à la disposition des programmes de GAVI des fonds importants, présentés aux investisseurs comme un investissement socialement responsable. Eh oui, le vaccin c’est de l’argent, c’est beaucoup d’argent.
Enfin en 2019, GAVI – en lien avec les sociétés NEC et Simprints – déploie la toute première technique d’identification des empreintes digitales des enfants pour renforcer la vaccination dans les pays en développement. Cette technologie permet d’associer identité biométrique et suivi de la vaccination pour les enfants âgés de 1 à 5 ans. Une avancée importante du biopouvoir.
Rappelons que les membres fondateurs de GAVI sont la Bill & Melinda Gates Foundation, l’OMS, la Banque Mondiale et l’UNICEF.

2. Réduire et contrôler les populations

Depuis 1972, l’OMS poursuit des objectifs de réduction de la fertilité des populations par le développement de politiques contraceptives et de soutien à l’avortement.
Parmi ses programmes, il en est un remarquable : la mise au point d’un vaccin anti-fertilité – en novlangue, un vaccin « régulant » la fertilité, en lien avec les travaux du chercheur Gursaran Talwar.
Le développement de ce vaccin s’inscrit dans la continuité des initiatives soutenues et financées par le Population Council créé en 1952 par Rockefeller III. C’est ce même Population Council qui a financé le Norplant, implant contraceptif-contragestif au levonorgestrel, et qui a soutenu les travaux du chercheur indien G. Talwar sur la mise au point d’un vaccin contraceptif dès le début des années 70.

3. Gursaran Talwar

Gursaran Talwar a mené des travaux obsessionnels pour associer la toxine du tétanos avec la partie β de l’hormone hCG, cette hormone étant indispensable au dialogue chimique et hormonal qui s’établit entre la mère et l’embryon dans les premiers jours suivant la conception au moment de la nidation. La hCG entretient le dialogue chimique qui soutient le développement de l’endomètre. En liant la βhCG avec la toxine du tétanos dans un vaccin, l’objectif est de conduire le système immunitaire maternel à combattre la toxine en même temps que l’hormone hCG fabriquée par l’embryon et provoquer ainsi un avortement en phase très précoce par effet contragestif.
L’hormone chorionique gonadotrope humaine (hCG) a une structure très particulière. Elle est composée de 237 acides aminés avec une sous-unité α identique à la sous-unité α des hormones LH, FSH et TSH comptant 92 acides aminés, et une sous-unité β comptant 145 acides aminés. Les deux chaînes polypeptidiques alpha et bêta qui interviennent dans sa formation ne sont pas liées par des liaisons fortes. Les 110 premiers acides aminés de la chaîne β ressemblent à l’hormone LH, mais la séquence des 35 derniers acides aminés est différente et c’est cette séquence qui est visée dans l’association avec la toxine tétanique (TT.)
Le choix de cette séquence de βhCG pour élaborer un vaccin a pour but d’éviter un ciblage par le système immunitaire des hormones LH/FSH qui se retournerait alors contre le cycle féminin, laissant à la mère la réalisation de son cycle et de ses ovulations, mais créant un environnement hostile à la nidation de l’embryon en cas de fécondation. Dans le cas du vaccin TT/βhCG (Tetanus Toxoid/βhCG), seul l’embryon est visé. Ce vaccin a en réalité un effet contragestif.
A ce stade, il est utile de rappeler que d’autres vaccins anti-fertilité ont été développés même s’ils sont moins avancés dans les protocoles d’essai clinique, en particulier le Trophoblastic Antigen (TBA) vaccine.
Le principe est de provoquer une réaction immunitaire de la mère contre l’enveloppe cellulaire de l’embryon, le trophoblaste – qui lui permet de se nider. Le principe est de susciter une attaque par les anticorps maternels d’une protéine à la surface du trophoblaste pour entraîner une destruction de l’embryon.

4. Un vaccin peut en cacher un autre.

Une première campagne antitétanos avait été organisée par l’OMS en 1994 au Mexique, au Nicaragua et aux Philippines. Des soupçons sur l’utilisation du vaccin anti-tétanos TT/βhCG lors de ces campagnes avaient été confirmés lors d’analyses demandées par Human Life International.
En 2013, l’OMS a démarré une campagne de vaccination antitétanos néonatal et maternel au Kenya. Cette campagne prévoyait 5 injections espacées de 6 mois chacune, la première commençant en octobre 2013. Après la deuxième injection, des médecins catholiques ont réussi à se procurer trois échantillons du vaccin qu’ils ont fait analyser, complétés par 6 autres échantillons après la troisième injection et récupérés par des médecins de la Kenya Catholic Doctors Association.
Les analyses des échantillons par la méthode ELISA par différents laboratoires indépendants ont montré une nette présence de βhCG dans les vaccins antitétaniques.
Qui plus est, les liens chimiques entre la βhCG et la toxine du vaccin mettait en évidence un procédé d’ingénierie biologique et excluait tout simple rajout de hCG dans le vaccin.
La position de déni des autorités de santé kenyanes, leur parti-pris inconditionnel pour l’OMS, la position de déni de l’OMS et sa résistance à fournir rapidement d’autres échantillons de vaccin, leur esprit d’intimidation n’ont pas prévalu.
La campagne a été arrêtée à la troisième injection en octobre 2014. Le calendrier des injections était d’ailleurs parfaitement anormal par rapport aux préconisations vaccinales antitétaniques (figure 2, page 15), mais il coïncidait mieux avec les calendriers de vaccinations anti-hCG et aux séquences beaucoup plus courtes des essais de G. Talwar.
Rappelons aussi que cette campagne a été opérée de façon très centralisée et sans transparence : campagne conduite depuis le New Stanley Hotel de Nairobi et non depuis un hôpital ou un centre médical, les vaccins étaient amenés sur les sites de vaccinations par la police et strictement contrôlés, aucun des centres médicaux du pays n’a été retenu comme lieu de stockage, les doses non utilisées étaient récupérées et renvoyées à l’hôtel de Nairobi sous strict contrôle policier.

5. Conclusion : une Covid pour quoi faire ?

Matthieu 7.18 : Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits.
A l’étude de tels faits, l’on est en droit de se demander si les campagnes de vaccination si fortement encouragées par l’OMS et désormais financées par Bill Gates ne sont pas uniquement une couverture pour promouvoir une mentalité contraceptive et abortive, en particulier auprès des pays d’Afrique sub-saharienne et d’Asie du Sud-Est.
Comme ces objectifs contraceptifs et abortifs sont déjà été atteints dans nos pays occidentaux, l’on peut se poser la question de savoir ce qu’est l’objectif réel poursuivi pour ces biodictateurs au travers de la prochaine vaccination «anti-covid n».
Cette immense campagne d’ingénierie sociale camouflée – “Nous sommes en guerre” – en contrôle d’une pandémie n’est-elle pas la destruction programmée de la classe moyenne, une opération de concentration encore plus grande de pouvoir et de richesse aux mains d’une oligarchie progressiste et mondialiste, un asservissement des peuples et un contrôle quasi-total comme seuls le biopouvoir et une technocratie médicale dogmatique peuvent l’imposer ?
Alors GAVI, stratégie vaccinale ou stratégie politique ?
Source : https://www.lesalonbeige.fr/gavi-strategie-vaccinale-ou-strategie-politique/
Jacques Duverger, le 9 juin 2020.

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