En marche vers l’homme immunologiquement modifié – par Jacques Duverger

13 novembre 2020 2 Par Bible & Science Diffusion

Par Jacques Duverger

Publié le 13 novembre 2020

En janvier 2016 Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, a présenté un plan d’action pour la rénovation de la politique vaccinale qui suivait les 20 recommandations formulées par Sandrine Hurel, ancienne députée socialiste.
Le déploiement de ce plan passait par la mise en place d’une grande concertation citoyenne pilotée par le professeur Alain Fischer, un proche de Martine Aubry. Agnès Buzyn fait partie des personnes consultées.
Ce plan a conduit à la mise en place en 2018 – sans réelle résistance – de vaccinations obligatoires contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, l’infection à Haemophilus influenzae b, l’hépatite B, le méningocoque C, le pneumocoque, la rougeole, les oreillons et la rubéole chez les nourrissons nés à partir du 1er janvier 2018.

Face à cette obligation gouvernementale, l’on trouve dans l’offre des vaccins commercialisés en France :
– les vaccins trivalents Priorix® et M-M-R Vax Pro®, seuls vaccins possibles pour la rougeole, les oreillons, la rubéole ;
– les vaccins hexavalents Hexyon®, Infanrix Hexa® ou Vaxelis® pour la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, la méningites à Haemophilus influenzae de type b, l’hépatite B.

1. Des vaccins cultivés sur des cellules de fœtus avortés

Un virus n’est pas à proprement parler un être vivant. Il est composé d’une ou plusieurs molécules d’acide nucléique (ADN ou ARN) incluse dans une coque protéique appelée capside. Pour répliquer son acide nucléique, il dépend d’une cellule hôte qu’il doit infecter pour détourner et utiliser son métabolisme. Un virus est nécessairement un parasite intracellulaire.
Pour des raisons de coût de fabrication, c’est ce mécanisme qu’utilisent les sociétés pharmaceutiques pour dupliquer les virus atténués qui sont ensuite conditionnés au travers de différents procédés biochimiques.
Les documents techniques ou administratifs utilisent l’expression de « cellules diploïdes » pour décrire les cellules obtenues de fœtus avortés.

Ainsi le vaccin trivalent M-M-R Vax Pro® est composé des trois souches suivantes : rougeole (souche Edmonston Enders), rubéole (souche Wistar 27/3), oreillons (souche Jeryl Lynn).
Le vaccin Priorix® est composé des trois souches suivantes : rougeole (souche Schwarz), rubéole (souche Wistar RA 27/3), oreillons (souche RIT 4385, dérivée de Jeryl Lynn).

De même la souche Wistar RA 27/3 est issue des travaux de Stanley Alan Plotkin, qui a isolé une souche de la rubéole et l’a cultivée dans les cellules issues d’un embryon humain avorté, la lignée de cellules WI-38. La WI-38 (Winstar Institute 38) est une lignée cellulaire diploïde humaine issue de tissus pulmonaires d’un fœtus féminin humain avorté après 3 mois de grossesse.

Pourtant, le gouvernement, dans la Base de données publiques des médicaments, omet la présence de résidus d’ADN fœtal dans les vaccins. Par exemple, il est précisé que Varivax contient le « virus vivant atténué de la varicelle (souche Oka/Merck) (produit des cellules diploïdes humaines MRC-5) » sans autre détail. Alors que la présentation plus détaillée du laboratoire fabricant Merck mentionne également « des composants résiduels des cellules MRC-5, y compris de l’ADN et des protéines, ainsi que de la néomycine et du sérum de veau fœtal à l’état de traces provenant du milieu de culture des cellules MRC-5».

2. Composition chimique, protéique et génétique des vaccins

Le Dr Loretta Bolgan a mené des travaux d’analyse chimique, protéique et métagénomique de la composition des vaccins Priorix Tetra, Hexyon et Gardasil 9. L’analyse du matériel génétique a été effectuée à l’aide de la méthode de séquençage NGS (Next Generation Sequencing).

Le séquençage complet du génome de MRC-5 contenu dans Priorix Tetra montre que l’ADN humain présent dans le vaccin (ADN de type masculin car le fœtus avorté dont dérive la lignée cellulaire MRC-5 était un garçon) présente aujourd’hui, après de nombreuses mutations, des dégradations importantes par rapport à un génome humain typique, c’est-à-dire celui d’un individu sain. Il existe de nombreuses variantes inconnues et plusieurs d’entre elles sont localisées dans des gènes impliqués dans des cancers.
Les analyses décèlent un ADN fœtal en quantités variables d’un lot à l’autre, ce qui indique un contrôle de qualité médiocre de ces produits pharmaceutiques.
L’ADN fœtal dans tous les échantillons analysés est jusqu’à 300 fois plus élevé que la limite imposée par l’EMA (European Medicines Agency) pour l’ADN cancérigène.

L’étude des quasi-espèces du Priorix Tetra met en évidence les mutation du virus utilisé : 245 variantes ont été identifiées dans le génome de la varicelle vaccinale par rapport au génome de référence utilisé pour l’analyse (génome sauvage de la souche Dumas). Parmi ces variantes, 154 sont des variantes « majeures » par rapport au virus sauvage.

L’analyse métagénomique sur Hexyon met en évidence la présence d’ADN de singe Cercopithecidae. Cet ADN se retrouve sous forme de traces et est dégradé, il ne doit donc pas pouvoir s’intégrer dans l’ADN hôte. Sa présence est due à la réaction incomplète du formaldéhyde et du glutaraldéhyde sur le matériel génétique, qui devrait être complètement détruit, et la présence d’aluminium peut le rendre stable à la dégradation dans le temps, élargissant les effets toxiques potentiels – risque d’auto-immunité, d’inflammation locale et systémique, de mutations génétiques.

L’analyse chimique et protéique du Gardasil 9 met en évidence la présence d’amphétamine (APDB). L’origine possible de la contamination serait la tyrosine, utilisée comme matière première pour la production de ce vaccin et extraite des cheveux humains de Chine. La principale production de ce stupéfiant vient de Chine et les toxicomanes en ont un niveau très élevé dans leurs cheveux. L’analyse métagénomique met en évidence la présence de rétrovirus endogène humain K.

3. Analyse des risques liés à l’ADN fœtal dans les vaccins

Le Dr Theresa Deisher a étudié les dangers des contaminations des vaccins par l’ADN fœtal. Ses publications décrivent les mutagenèses par insertion et les maladies auto-immunes induites par l’interaction de l’ADN fœtal avec l’ADN de l’enfant vacciné.
La synthèse de ses travaux a été traduite en français : Profusion d’ADN fœtaux dans les vaccins, des conséquences potentiellement incalculables.
Pour en savoir plus, vous pouvez retrouver ses conférences de 2012, 2018, 2019.

En résumé, « injecter à nos enfants des contaminants de l’ADN fœtal humain présente le risque de provoquer deux pathologies :
Mutagenèse par insertion : l’ADN humain fœtal s’intègre dans l’ADN de l’enfant en provoquant des mutations. La thérapie génique utilisant la recombinaison homologue de petits fragments a démontré qu’une valeur aussi faible que 1,9 ng / ml de fragments d’ADN entraîne l’insertion dans le génome de cellules souches de 100 % des souris injectées. Les taux de fragments d’ADN fœtal humain chez nos enfants après la vaccination avec les vaccins contenant le vaccin ROR, Varivax (varicelle) ou contre l’hépatite A atteignent des niveaux supérieurs à 1,9 ng / ml.
Maladie auto-immune : l’ADN humain fœtal amène le système immunitaire de l’enfant à attaquer son propre corps.
Une préoccupation supplémentaire : la contamination par les rétrovirus. Le rétrovirus endogène humain K (HERVK) est un contaminant du vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. »

4. Conclusion

A la lumière de ces données, peut-on vraiment considérer que les vaccins commercialisés en France sont, comme le prétend le Rapport de la concertation citoyenne sur la vaccination, sûrs et efficaces ?
Ces vaccins doivent être considérés comme défectueux et potentiellement dangereux pour la santé humaine, en particulier pour la population pédiatrique qui est beaucoup plus vulnérable aux dommages génétiques et auto-immunes en raison de l’immaturité des systèmes immunitaires.

Article rédigé le 20 août 2020.

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