Hydroxychloroquine : comment la mauvaise science est devenue une religion.
Par Jean-Dominique Michel 24 mars 2020 Scènes surréalistes dans l’Hexagone, avec un bras de fer entre l’IHU Méditerranée-Infection et le…
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Par Jean-Dominique Michel 24 mars 2020 Scènes surréalistes dans l’Hexagone, avec un bras de fer entre l’IHU Méditerranée-Infection et le…
De récentes discussions ont soulevé la question des implications métaphysiques de la cosmologie standard du Big Bang. L’argument de Grünbaum selon lequel le principe de causalité ne peut être appliqué à l’origine de l’univers repose sur un pseudo-dilemme, puisque la cause ne pourrait agir ni avant ni après t=0, mais à t=0. Le plaidoyer de Lévy-Leblond en faveur d’une modification de la métrique du temps cosmique en vue de repousser la singularité à -ꝏ implique diverses difficultés conceptuelles et est de toute façon vain, puisque le commencement de l’univers n’est pas éliminé. L’aversion de Maddox pour les implications métaphysiques possibles du modèle standard témoigne d’un scientisme étroit. La cosmogénèse standard du Big Bang semble donc avoir ces implications métaphysiques que certains ont trouvées si dérangeantes.
Vidéo de l’exposé apporté par André Eggen, spécialiste du génome, au premier congrès Bible & Science à Mulhouse qui s’est déroulé au 25 au 27 octobre 2019.
La vision évolutionniste du monde vivant exerce, on ne le sait que trop, un quasi-monopole sur la pensée universitaire. Or ce château de cartes repose entièrement sur l’hypothèse que la sélection naturelle serait capable de trier entre les bonnes et les mauvaises mutations, ouvrant ainsi une fenêtre pour la multiplication des individus les plus aptes. Avec les connaissances, même très partielles, que nous avons désormais du génome, il devient clair que cette hypothèse est fausse. Nous sommes tous des mutants. Mais, d’une part, la dégénérescence par accumulation des mutations délétères échappe à la sélection car elle se produit à l’échelle moléculaire ; et, d’autre part, il est impossible d’éliminer les individus qui ne sont pas porteurs de l’éventuelle mutation positive sans éteindre démographiquement toute l’espèce.
Etrangement, ce que les philosophes “humanistes” n’ont jamais essayé, à savoir d’examiner de manière vraiment critique leur axiome de l’autonomie de la raison, ni les théologiens ni les philosophes “chrétiens”, depuis les Pères jusqu’à Karl BARTH en passant pas Thomas D’AQUIN ne l’ont tenté dès qu’ils parlaient ” philosophie”. Tant et si bien que les théologiens et philosophes “chrétiens” ont pratiquement et malheureusement, presque toujours, accepté l’intouchable tradition philosophique de la raison autonome ce qui les a conduits à “accommoder”, plus ou moins, leur philosophie… et leur théologie à la philosophie ou aux philosophies de leur temps.
L’absurdité des « souffrances de millions d’animaux inférieurs au cours d’âges presque sans fin » (selon l’expression de Darwin) et de leur mort subséquente n’est pas seulement le propre de la théorie de l’évolution, mais constitue une difficulté insurmontable au regard de la révélation biblique pour également tout modèle de création qui postule de longues ères géologiques et accepte la chronologie enseignée par la science moderne, en faisant émerger l’homme des millions d’années après la mort d’autres êtres vivants.
Le contrôle du naturalisme sur la science remonte bien au-delà de Darwin : il a pour origine les théories de la Terre âgée et du vieil univers, à l’aube des XVIIIe et XIXe siècles, voire même les écrits de Galilée et de Francis Bacon (dont les diktats à propos de l’Ecriture et de la science servaient souvent de références aux géologues du début du XIXe siècle). Ce sont eux qui ont enfoncé le premier coin entre l’Ecriture et la science.
En 1956, trois ans avant le centenaire du fameux livre de Darwin, les éditeurs de la version usuelle voulurent en actualiser la présentation. Ils s’adressèrent donc à un spécialiste qualifié, biologiste-en-chef du Commonwealth. William R. Thompson, lequel écrivit une Introduction remarquable, traduite ici en français pour la première fois. Y était présentée une critique méthodique et radicale des principales affirmations de Darwin, celles précisément qui sont répandues dans le grand public et ont provoqué — on peut le dire — l’évanescence de la vision chrétienne du monde.
Les variations ou mutations des espèces sont le fruit du pur hasard selon Darwin. Comme le résume parfaitement Denton (1985) : « Il n’y a que deux façons de justifier l’idée que le hasard est l’auteur du projet biologique : calculer la probabilité de découvrir par chance des systèmes organiques fonctionnels, ou tester l’efficacité créatrice de la recherche aléatoire sur des systèmes en tout point analogues aux organismes. »
Contrairement à ce que l’on pense souvent, la majorité des biologistes français du début du XXe siècle avaient déjà fait suffisamment d’observations scientifiques pour constater le manque de fondement de la théorie, à tel point que celle-ci fut officiellement reconnue comme non crédible et parut sur le point d’être abandonnée.
L’auteur expose ici, fondée sur ses travaux minéralogiques et chimiques menés à l’Université de Louvain puis au Musée Royal de l’Afrique centrale de Tervuren à partir de 1964, une critique radicale de la géochronologie. Contrairement à ce qu’on croyait, de nombreux minéraux on pu être synthétisés ou altérés en quelques jours ou quelques mois à la température ordinaire, dans des « conditions hydrothermales » déterminées, sous l’action de solutions. S’expliquent ainsi de nombreuses anomalies constatées dans les datations par les radio-éléments, ce qui rejaillit sur l’âge attribué aux fossiles du Rift africain.
Une lettre ouverte au Conseil de l’éducation de l’état du Kansas du professeur Philip S. Skell (30 décembre 1918 – 21 novembre 2010), qui était membre de l’Académie Nationale des Sciences depuis 1977 jusqu’à sa mort, professeur émérite de chimie, récipiendaire du prix Evan Pugh, de l’Université de l’état de la Pennsylvanie.
Une nouvelle étude significative vient tout juste d’être publiée, montrant qu’il est scientifiquement possible – contrairement à ce que l’on prétend souvent – que les êtres humains descendent d’un seul couple humain.
Il est contre-intuitif qu’un homosexuel et un athée soient d’accord avec les chrétiens conservateurs sur des questions liées aux origines. Pourtant, l’auteur à succès Douglas Murray l’est dans une mesure surprenante. Bien sûr, d’autres athées ont été francs sur le fait que Dieu et l’évolution sont incompatibles, mais ils l’ont généralement été avec un état d’esprit condescendant et triomphaliste. Ce n’est pas le cas de Murray.
Quel âge a la plus ancienne langue humaine ? Il est difficile de le dire. En utilisant les analyses et statistiques linguistiques, les scientifiques de l’Institut Max Planck ont estimé l’âge de la famille des langues dravidiennes des régions méridionales de l’Inde à 4 500 ans. Phys.org rapporte que les Dravidiens étaient présents un millier d’années avant l’arrivée des Indo-aryens en Inde.
Le texte massorétique de Genèse 5 et 11 est encore le plus fiable Par Lita Cosner, Robert Carter Publié le…
En 2011, 29 scientifiques de premier plan partisans du dessein intelligent ont tenu un colloque sur l’information biologique au cours duquel ils ont effectué une comparaison entre l’explication darwinienne conventionnelle des origines et les nouvelles découvertes extraordinaires concernant les langages biologiques. Le deuxième thème majeur parmi les présentations du groupe concernait les “difficultés pour créer des informations biologiques”. En substance, ils ont essayé de reproduire artificiellement certains aspects de la création de l’information. Qu’ont-ils découvert ?
Ce présent article a pour objet l’examen de la validité de ce qui a été avancé par deux scientifiques chrétiens comme étant des preuves, acceptées de façon consensuelle par la communauté scientifique internationale, de la théorie synthétique moderne de l’évolution, encore appelée le néodarwinisme. Il ne prétend aucunement fournir une réfutation exhaustive et systématique de l’évolution, mais se contente de s’arrêter sur les arguments mentionnés dans De la genèse au génome.
Disons par antiphrase qu’il ne reste plus aux optimistes qu’à entonner le grand hymne du principe anthropique. Mais ici nous ne sommes plus dans le discours scientifique, quelques savantes que soient les équations dont les fanfares accompagnent son chant. D’autres pratiqueront la suspension du jugement.
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