GAVI, stratégie vaccinale ou stratégie politique ?
Par Jacques Duverger Publié le 13 novembre 2020 Après son texte sur Vaccinator, Jacques Duverger nous propose un décryptage de…
Bible & Science Diffusion. Reconnecter la science à la Bible
Par Jacques Duverger Publié le 13 novembre 2020 Après son texte sur Vaccinator, Jacques Duverger nous propose un décryptage de…
Par Jacques Duverger 13 novembre 2020 Nouvelle analyse de Jacques Duverger, après son texte sur Vaccinator et son décryptage de…
L’obsession gouvernementale à entretenir la peur pour imposer un vaccin n’est pas une simple maladresse, c’est une manœuvre criminelle visant plusieurs buts :
l’enrichissement d’un réseau proche du pouvoir,
l’accélération de la mise en place de la 5G à l’image de la Chine communiste dans une volonté de contrôle social et politique,
la mise en œuvre de l’idéologie néomalthusienne et eugéniste de la Bill & Melinda Gates Foundation.
Cet agenda explique l’acharnement mensonger des médias contre le traitement à l’hydroxychloroquine et leur hystérie vaccinale.
peut-on vraiment considérer que les vaccins commercialisés en France sont, comme le prétend le Rapport de la concertation citoyenne sur la vaccination, sûrs et efficaces ?
Ces vaccins doivent être considérés comme défectueux et potentiellement dangereux pour la santé humaine, en particulier pour la population pédiatrique qui est beaucoup plus vulnérable aux dommages génétiques et auto-immunes en raison de l’immaturité des systèmes immunitaires.
En étendant la théorie de Malthus à toutes les créatures vivantes, le X Club obscurcit la différence qualitative entre les humains et les singes, ce qui était avantageux pour un empire qui ne peut contrôler les humains que lorsqu’ils adoptent la loi de la jungle comme norme de pratique morale et de formation de l’identité, plutôt que quoi que ce soit de réellement moral.
Pendant des décennies, les évolutionnistes ont affirmé que nos corps et nos génomes sont remplis de parties et de matériel génétique inutiles – des organes “vestigiaux” – qui montrent que la vie est le résultat d’une évolution non guidée se produisant sur des temps immémoriaux.
Un autre domaine dans lequel les biologistes évolutionnistes proclament qu’il y a de puissantes preuves de l’ascendance commune est celui des modes de développement des embryons de vertébrés. Les manuels de biologie décrivent généralement les embryons de différents groupes de vertébrés comme ayant des développements qui commencent de manière très similaire les uns aux autres, ce qui reflèterait leur ascendance commune. Toutefois, ces affirmations exagèrent le degré de similitude entre les embryons de vertébrés à leurs premiers stades.
Chaque fois que les biologistes évolutionnistes sont obligés de faire appel à l’évolution convergente, cela reflète une rupture par rapport à l’hypothèse principale et une incapacité à faire rentrer les données dans un modèle d’évolution en forme d’arbre. Les exemples de cette situation abondent dans la littérature, mais quelques uns suffiront.
“La systématique moléculaire est (largement) fondée sur l’hypothèse, clairement énoncée pour la première fois par Zuckerkandl et Pauling (1962), selon laquelle le degré de similitude globale reflète le degré de parenté.”
Cette hypothèse est essentiellement l’énonciation d’une caractéristique majeure de la théorie – l’idée d’une ascendance commune universelle. Néanmoins, il est important de réaliser qu’il s’agit d’une simple hypothèse que de prétendre que les similitudes génétiques entre différentes espèces résultent nécessairement d’une ascendance commune.
Darwin reconnaît que les fossiles ne documentent pas ces formes de vie “intermédiaires”, et demande “pourquoi donc chaque formation géologique et chaque strate ne sont pas remplies de ces formes de vie intermédiaires.
Les mutations ne peuvent pas générer de nombreuses caractéristiques complexes dans les organismes vivants sur des échelles de temps évolutives raisonnables. Mais les mutations ne sont qu’une partie du mécanisme évolutif conventionnel – il y a aussi la sélection naturelle. Et non seulement l’évolution darwinienne ne parvient pas à expliquer l'”arrivée du plus fort” par des mutations, mais de plus elle a souvent du mal à expliquer la “survie du plus fort” par la sélection naturelle.
Les théoriciens modernes de l’origine de la vie ont-ils expliqué comment ce pont crucial entre les produits chimiques inertes non vivants et les systèmes moléculaires autoreproducteurs s’est fait ? La principale hypothèse concernant l’origine de la première vie s’appelle le “monde à ARN”. Mais cette hypothèse pose de nombreux problèmes.
Si l’existence de cette “soupe primordiale” est acceptée comme un fait incontestable depuis des décennies, cette première étape dans la plupart des théories sur l’origine de la vie se heurte à de nombreuses difficultés scientifiques.
L’on prétend souvent que la biogéographie appuie fortement la théorie néodarwinienne. Par exemple, le National Center for Science Education (NCSE), un lobby prodarwininien, affirme que “la cohérence entre les modèles biogéographiques et évolutifs constitue des preuves importantes au sujet de la continuité des processus qui conduisent à l’évolution et à la diversification de toutes les formes de vie” et que “cette continuité est ce que l’on attend d’un modèle d’ascendance commune.” Cependant, le NCSE exagère considérablement son propos et met de côté les nombreux cas où la biogéographie ne montre pas le type de “continuité” que l’on pourrait attendre d’un modèle d’ascendance commune.
Ces dernières années, les biologistes évolutionnistes ont tenté d’expliquer l’origine des capacités morales, intellectuelles et religieuses de l’homme en termes d’évolution darwinienne. Marc Hauser, psychologue évolutionniste de l’université de Harvard, a promu l’hypothèse de plus en plus courante selon laquelle “les gens naissent avec une grammaire morale câblée dans leurs circuits neuronaux par l’évolution.”
Il semble que presque quotidiennement nous trouvons les médias qui citent des scientifiques évolutionnistes déclarant que les récits matérialistes de l’évolution biologique et chimique sont des “faits”. Les étudiants qui suivent des cours de préparation à l’université ou des cours de niveau universitaire sur l’évolution sont avertis que le fait de douter du darwinisme équivaut à commettre un suicide intellectuel – autant proclamer que la Terre est plate.
Selon les biologistes évolutionnistes, une fois que la vie a débuté, l’évolution darwinienne a pris le relais et a finalement produit la grande diversité que nous observons aujourd’hui. Selon la vision conventionnelle, un processus de mutations aléatoires couplées à la sélection naturelle a construit la vaste complexité de la vie, en procédant par petites étapes mutationnelles incrémentales. Bien entendu, l’on pense que toutes les caractéristiques complexes de la vie sont codées dans l’ADN des organismes vivants. La construction de nouvelles caractéristiques nécessite donc de générer de nouvelles informations dans le code génétique de l’ADN. Les informations nécessaires peuvent-elles être générées de manière non dirigée et progressive comme le requiert la théorie de Darwin ?
Avant la mise en place d’une commission d’enquête sur la crise du covid-19, l’Assemblée nationale avait lancé une mission d’information. Dans le rapport de cette mission, publié le 3 juin, se trouve l’une des clés pour comprendre les mauvais résultats de la France face au covid-19 : le désarmement de la médecine.
Si vous vous êtes déjà demandé dans quelle mesure les enjeux scientifiques sont politisés, reflétant les points de vue idéologiques des scientifiques concernés malgré toutes leurs insistances à dire qu’il n’en est pas ainsi, ne cherchez pas plus loin.
La science a pour but de s’approcher aussi près que possible de la vérité, et non d’obtenir des résultats spectaculaires, mais erronés. Certaines des actions proposées pourraient même causer du tort à la crédibilité de la science à moins que la recherche de la vérité ne devienne l’objectif le plus prioritaire.
Plus qu’un documentaire, ce film est la première étape d’un voyage qui vous amènera à comprendre l’histoire de la Terre selon la Genèse. Suivez Del Tackett dans son périple à travers tout le continent avec plus d’une douzaine de scientifiques et d’universitaires pour découvrir de nouvelles preuves fascinantes de la création et d’un déluge mondial.
Deux entretiens avec l’antropologue médical Jean-Dominique Michel à visionner sur la crise sanitaire du Covid-19. Entretien 1e partie : Anatomie…
Le constat factuel suffit en soi : instrumentaliser pour légitimer une conséquence et pointer l’origine religieuse comme étant l’effet atomique de la propagation du virus relève d’une forme de sophisme scientifique, une argumentation à la logique fallacieuse. C’est utiliser un argument d’autorité. Or il convenait dans cet article de démasquer la rhétorique qui contrevient à la vérité en faussant l’argument. L’église évangélique de Mulhouse ne doit nullement devenir le bouc émissaire de sa ville, de sa région et de notre nation.
Pourquoi Taïwan a-t-elle aussi bien combattu le Covid-19 – cette peste que la presse a initialement appelée le “coronavirus chinois” ou “virus de Wuhan” ? C’est simple : les dirigeants de Taïwan ont supposé que tout ce qu’ils entendaient était un mensonge. Un reportage de PBS News Hour met en lumière la posture sceptique que l’Amérique [n.d.t. : et la France] doit adopter vis-à-vis de Pékin à l’avenir.
Par Franck Jullié Publié le 28 avril 2020 Dieu aurait-il oublié de nous parler de la contraception dans Sa Parole,…
Par Claude Rochet 19 avril 2020 Article reproduit avec l’aimable autorisation de l’auteur. J’ai répondu aux questions d’Atlantico – que…
La cause fondamentale de cette pandémie mortelle est l’incompétence, la corruption et la malveillance de l’établissement scientifique et politique chinois. La gestion de cette crise par la Chine est un cas d’école de pseudoscience politisée.
Par Jean de Pontcharra Le consensus veut que les dinosaures aient disparu il y a environ 65 millions d’années. Pourtant,…
L’affaire chloroquine pose ainsi un débat de fond sur la nature de la science. Se prétendent du côté de la science tous ceux qui entendent en faire une source absolue de toute décision publique devant laquelle doit s’effacer toute préoccupation éthique. Qu’on en juge : au nom de la preuve dite scientifique, l’on prétend faire des essais cliniques sur des patients contaminés : ce qui veut dire que l’on va faire signer à ces patients une reconnaissance qu’ils acceptent ces essais sans savoir (le médecin non plus, l’essai se faisant en « double aveugle ») s’il reçoit un traitement ou pas. Un peu comme si, pour essayer un nouveau parachute, certains patients recevaient un parachute ne s’ouvrant pas.
La théorie néodarwinienne de l’évolution est en train de s’effondrer.
Trois nouvelles preuves puissantes contre l’évolution sont présentées par le généticien John Sanford.
Six documentaires vidéos en français de qualité professionnelle d’environ 1 heure chacun conçus par Illustra Media peuvent être visionnés en ligne gratuitement pendant 60 jours. Ils apportent des preuves bien étayées de ce que le monde et la vie ne peuvent pas avoir émergé de manière fortuite à travers un processus évolutif non dirigé, mais qu’ils ont été conçus par un Agent intelligent.
Par Jean-Dominique Michel 24 mars 2020 Scènes surréalistes dans l’Hexagone, avec un bras de fer entre l’IHU Méditerranée-Infection et le…
Vidéo de l’exposé apporté par André Eggen, spécialiste du génome, au premier congrès Bible & Science à Mulhouse qui s’est déroulé au 25 au 27 octobre 2019.
La vision évolutionniste du monde vivant exerce, on ne le sait que trop, un quasi-monopole sur la pensée universitaire. Or ce château de cartes repose entièrement sur l’hypothèse que la sélection naturelle serait capable de trier entre les bonnes et les mauvaises mutations, ouvrant ainsi une fenêtre pour la multiplication des individus les plus aptes. Avec les connaissances, même très partielles, que nous avons désormais du génome, il devient clair que cette hypothèse est fausse. Nous sommes tous des mutants. Mais, d’une part, la dégénérescence par accumulation des mutations délétères échappe à la sélection car elle se produit à l’échelle moléculaire ; et, d’autre part, il est impossible d’éliminer les individus qui ne sont pas porteurs de l’éventuelle mutation positive sans éteindre démographiquement toute l’espèce.
L’absurdité des « souffrances de millions d’animaux inférieurs au cours d’âges presque sans fin » (selon l’expression de Darwin) et de leur mort subséquente n’est pas seulement le propre de la théorie de l’évolution, mais constitue une difficulté insurmontable au regard de la révélation biblique pour également tout modèle de création qui postule de longues ères géologiques et accepte la chronologie enseignée par la science moderne, en faisant émerger l’homme des millions d’années après la mort d’autres êtres vivants.
En 1956, trois ans avant le centenaire du fameux livre de Darwin, les éditeurs de la version usuelle voulurent en actualiser la présentation. Ils s’adressèrent donc à un spécialiste qualifié, biologiste-en-chef du Commonwealth. William R. Thompson, lequel écrivit une Introduction remarquable, traduite ici en français pour la première fois. Y était présentée une critique méthodique et radicale des principales affirmations de Darwin, celles précisément qui sont répandues dans le grand public et ont provoqué — on peut le dire — l’évanescence de la vision chrétienne du monde.
Les variations ou mutations des espèces sont le fruit du pur hasard selon Darwin. Comme le résume parfaitement Denton (1985) : « Il n’y a que deux façons de justifier l’idée que le hasard est l’auteur du projet biologique : calculer la probabilité de découvrir par chance des systèmes organiques fonctionnels, ou tester l’efficacité créatrice de la recherche aléatoire sur des systèmes en tout point analogues aux organismes. »
Contrairement à ce que l’on pense souvent, la majorité des biologistes français du début du XXe siècle avaient déjà fait suffisamment d’observations scientifiques pour constater le manque de fondement de la théorie, à tel point que celle-ci fut officiellement reconnue comme non crédible et parut sur le point d’être abandonnée.
Une lettre ouverte au Conseil de l’éducation de l’état du Kansas du professeur Philip S. Skell (30 décembre 1918 – 21 novembre 2010), qui était membre de l’Académie Nationale des Sciences depuis 1977 jusqu’à sa mort, professeur émérite de chimie, récipiendaire du prix Evan Pugh, de l’Université de l’état de la Pennsylvanie.
Une nouvelle étude significative vient tout juste d’être publiée, montrant qu’il est scientifiquement possible – contrairement à ce que l’on prétend souvent – que les êtres humains descendent d’un seul couple humain.
par Nathaniel T. Jeanson, Ph.D. * L’organisation évolutionniste théiste BioLogos a récemment et publiquement défié les créationnistes d’expliquer des exemples…
par Nathaniel T. Jeanson, Ph.D. * Les généticiens séculiers croient que les humains modernes peuvent faire remonter leur ascendance génétique…
par John D. Morris, Ph.D. (*)Il y a plusieurs gros problèmes avec le concept d’évolution, incluant l’origine de l’homme à…
par John D. Morris, Ph.D.Une des erreurs les plus fréquemment faites aujourd’hui, même par les chrétiens croyant en la Bible,…
Avons-nous une idée des sons que les dragons faisaient? Étaient-ils muets comme la girafe? Sifflaient-ils comme un serpent? Il est…
Des organismes plus grands dans le passé Souvent les plus grands organismes sont en meilleure santé et vivent plus longtemps…
Une société californienne, Ambergene, a breveté un procédé de stérilisation d’échantillons d’ambre, les broyant, puis élevant les microbes anciens qu’on…
The GS (genetic selection) Principle – David L. Abel – 2009: http://www.academia.edu/11759370/The_Genetic_Selection_GS_Principle_-_Scirus_Sci-Topic_Page Extrait: Incroyablement, il a été démontré que l’information…
par Tim Clarey, Ph.D. * Depuis de nombreuses années, les paléontologues ont eu connaissance des fossiles marins au sein de…
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